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FLEUR DE LYSE SANS FOND

 

 

CONFÉRENCE DE SAR Maria Teresa de BOURBON-PARME

le Jeudi 16 Octobre 2014

 

 

 

 

 

 

 

COUVERTURE LIVRE N+1

 

TABLEAU GENEALOGIQUE N° 2

 

 


Tableau généalogique publié dans Bourbons Magazine, 1997 (Directeur de la publication : Daniel Hamiche)


SAR Maria-Teresa de BOURBON-PARME
est la nièce et filleule de l'impératrice Zita dont le procès en béatification a été introduit
(http://www.beatification-imperatrice-zita.org/pages/francais/biographie.php)

 

 

Les BOURBON-PARME dans l'actualité

 

 

Françoise de BOURBON LOBKOWICZ, sa soeur, dans les années 90, développa Malte-Liban à l'appel de Jean-Paul II "La disparition du Liban serait sans aucun doute l'un des grands remords du monde. Sa sauvegarde est l'une des tâches les plus urgentes et les plus nobles que le monde d'aujourd'hui se doit d'assumer"

 

 

 

 

Village de Yaroun. La Princesse rend visite à une malade, en remerciement, elle lui offre une fleur de Gardénia.

 

 

 

Le 31 mai 2014, Sixte-Henri de BOURBON-PARME, son frère, accompagna Aymeric CHAUPRADE, député français au Parlement Européen, a une réunion prorusse à Vienne (Autriche) ayant pour thème "l'avenir des valeurs fondamentales de la civilisation chrétienne en Europe".

 

 

Dans le cadre de l"affaire de l'authentification de la tête d'Henri IV", les scientifiques ont prélevé l'ADN de Sixte-Henri et d'Axel de BOURBON-PARME.

 

 

BOUCHON CHAMPAGNE copie

 

 

  Axel de BOURBON-PARME est producteur de champagne et exploite, avec son épouse, la franchise "les Domaines Qui Montent" de Boulogne-Billancourt.

 

 

 

 

 

  Rémy de BOURBON-PARME est l'auteur d'ouvrages de référence : "les Cisterciens", et en collaboration avec Georges BERNAGE et Alexandre LOIRE : "Les sacres des rois de France". 

 

Marie-Amélie de BOURBON-PARME, auteur d'un Louis XVII, a trouvé son prince charmant en la personne d'Igor BOGDANOFF. Née hors mariage, elle n'est pas princesse. Elle a pour demi-frère Charles-Emmanuel de BOURBON-PARME.  

 

Le 24 décembre 2008, Charles-Emmanuel de BOURBON-PARME, voulait faire retirer de l'exposition "Jeff Koons" qui se tenait au château de Versailles les pièces à caractère pornographique.
Cinq mois plus tard, le 19 mai 2009, le prince déposait les statuts de sa société dont l'objet était à caractère...sexuel ! et avait pour dénomination : "The Original Condom from Condom". La mairie du petit village du Gers dénonça l'utilisation abusive de son nom, l'atteinte à son image et la tromperie sur l'origine du produit (importé de Malaisie, pays réputé pour ses employés exploités !). Le Prince voulait changer l'image de ce produit, lui "apporter de l'élégance, de l'humour et un soupçon de french touch", le TGI vit, au contraire, en sa démarche "des fins seulement mercantiles et dépourvues de noblesse" et le condamna à 10 000 €. On peut légitimement penser qu'en son temps, Bossuet, évêque de Condom, lui aurait "passer un Sermon"...Le 10 septembre 2014, la société était en liquidation.  

 

   

 


Nicolas Chotard
Président des Lys de France
Tél. : 06 82 96 73 59

 

 

 

 

 

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SAR MARIA TERESA DE BOURBON PARME N°2

 

SAR Maria Teresa de BOURBON PARME 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ANNÉE 2020

 

 

FLEUR DE LYSE SANS FOND
 
 
 

 

 

JEUDI 5 MARS 2020 

"L'AFFIRMATION D'UNE CIVILISATION  CLOVIS, STE GENEVIÈVE ” (BRUNO DUMÉZIL)

 

 

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L’épisode inaugural de l’histoire de France est aussi le plus évanescent : le baptême de Clovis reste encore aujourd’hui recouverte d’épaisses couches de mythes et de fables. Peut-on retrouver la véritable figure de ce «roi très glorieux» qui, au crépuscule de l’Empire romain, a épousé la foi catholique, bientôt suivi d’une partie de son peuple ? Bruno Dumézil explore les traces fugaces d’une Gaule en mutation entre le passé romain et la civilisation médiévale ; il convoque les ressources de l’archéologie pour approcher les hommes et les paysages que Clovis allait unifier ; il s’efforce de composer l’histoire de ce peuple franc appelé à fonder une nation chrétienne. C’est cette reconstitution qui confère à la journée lointaine où «naît la France» sa véritable dimension politique et mémorielle. Autour de Clovis, mémoire et histoire souvent s’entremêlent au service de partis et de passions que chaque époque fait naître. L’irréductible part de mystère de ce baptême des origines aura ainsi contribué à son extraordinaire postérité.  

 

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Ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure, Bruno Dumézil est agrégé d’histoire, membre de l’Institut Universitaire de France, et professeur d’histoire médiévale à Sorbonne Université. Ses travaux portent sur le haut Moyen Âge occidental, à travers l’histoire des migrations, des réseaux sociaux et du personnel dirigeant. Il a publié plusieurs ouvrages dont Les racines chrétiennes de l’Europe, Conversion et liberté dans les royaumes barbares V-VIIIe siècle (Fayard, 2005), La reine Brunehaut (Fayard, 2008), Les royaumes barbares d’Occident (PUF, 2010), Servir l’État dans la Gaule franque (Tallandier, 2013), Les Barbares (PUF, 2016) et Le baptême de Clovis. Il a également participé au commissariat d’expositions, notamment Nos ancêtres les barbares (2008) et L’Austrasie, le royaume mérovingien oublié (2016).

 

 

 

 

Commandez votre livre dédicacé

 

Les Barbares : 32 € (+ Frais de port : 5 €)

 

Des Gaulois aux Carolingiens : 14 € (+ Frais de port : 5 €)

 

La Reine Brunehaut : 29,50 € (+ Frais de port : 5 €)

 

Les racines chrétiennes de l’Europe : 32,50 € (+ Frais de port : 5 €)

 

Le baptême de Clovis : 22 € (+ Frais de port  : 5 €)

 

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Dimanche 26 Janvier 2020 

Visite exposition Marie-Antoinette (COMPLET)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Aucune figure historique n’a connu un tel foisonnement de représentations, de son vivant, puis, surtout, après sa mort, le 16 octobre 1793.

 

C’est à travers près de 200 œuvres, objets d’art et archives, extraits de films, accessoires de mode, que vous découvrirez les multiples représentations de Marie-Antoinette.

 

L’exposition abordera cinq thématiques qui vous permettront de comprendre les différentes images de la Reine Marie-Antoinette.

 

Marie-Antoinette à la Conciergerie

Savez-vous que la reine passa ses dix dernières semaines dans le « couloir de la mort » emprisonnée à la Conciergerie.

 

Son procès se tient dans le même temps au Tribunal révolutionnaire, à quelques mètres de sa cellule. 


Un certain nombre de fétiches mémoriels témoignent de ses derniers jours : chemise, soulier, ceinture, plans d’aménagement des lieux et documents d’archives autour du procès et de l’exécution de la reine.

 

Les histoires

Plongez au cœur de vingt événements de la vie de Marie-Antoinette, publics ou privés, de sa naissance à sa mort, puis à ses funérailles officielles en 1814 à partir de vingt livres édités de 1788 à nos jours. 

 

L’image de la reine

La figure de Marie-Antoinette est une véritable « planche à images », dont la production peut s’emballer soudain, en fonction d’un événement, d’une commémoration, de l’actualité culturelle ou de la vogue d’un motif. 


Dans cette troisième section, quatre corpus permettent d’organiser cette profusion des images hétérogènes de Marie-Antoinette, marquée par le motif de la reproduction en série

 

– Les portraits d’Elisabeth Louise Vigée Le Brun


– La mémoire politique de la reine martyre 


– Marie-Antoinette dans l’imagerie d’histoire


– Marie-Antoinette à l’écran

 

Fétiches de reine

Le rapport à Marie-Antoinette a souvent été passionnel et conflictuel, engendrant des cultes, des hommages, ou au contraire de violentes attaques. De plus, il est généralement passé par le fantasme et l’imaginaire, s’établissant sur un registre où l’intime peut croiser le mythologique.
Trois principaux motifs illustreront dans l’exposition ce lien fétichiste à la reine :

 

– La chevelure


– Le corps


– La tête coupée

 

 

 

 

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Samedi 25 Janvier 2020

Galette des Rois (COMPLET)

 

 

 

 

à 16 h 30 – au Bourbon – 1, place du Palais Bourbon – Paris VII
(Métro : Assemblée Nationale / Bus : 63)

 

 

 

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Alphonse, duc d’Anjou et de Cadix (1936 – 1989)


Le 12 janvier 1986, le Prince adressait aux participants de la Galette des Rois ce message :

 

Quand, tout à l’heure, après avoir écouté la conférence de ce cher Guy Augé, vous partagerez la galette et tirerez les rois, n’oubliez pas l’humble requête des mendiants du Moyen-Age qui, le jour de l’Epiphanie, allaient de maison en maison réclamant : “la part de Dieu, s’il vous plaît”. Au-delà d’un simple acte de charité envers les plus pauvres, ce sera en quelque sorte et symboliquement, la reconnaissance de ce qui est dû à Dieu.

 

 

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Jeudi 28 Novembre 2019

(Cercle de l’Union Interalliée) : Jean Sévillia “L’Eglise face à l’Histoire”

(Dîner-débat)

 

 

 

 

Les croisades étaient-elles une entreprise impérialiste à l’encontre de l’Orient musulman ? L’Inquisition a-t-elle brûlé des milliers d’hérétiques ? La chrétienté médiévale était-elle antisémite ? 

 

L’Église s’est-elle vraiment interrogée pour savoir si les femmes avaient une âme ? Les papes de la Renaissance ressemblaient-ils tous aux Borgia ? Pendant les guerres de Religion, les catholiques ont-ils fait preuve d’intolérance alors que les protestants incarnaient la liberté d’esprit ? Galilée a-t-il été condamné parce que les papes s’opposaient aux découvertes scientifiques ? L’Église du xixe siècle était-elle par principe hostile à la modernité ? Dans les années 1930, le Vatican s’est-il aveuglé par anticommunisme sur les dangers du fascisme et du nazisme ?

 

Autant de questions explosives en forme de réquisitoire dans un procès couramment fait à l’Église catholique. Les réponses données ici par quinze historiens visent d’abord à remettre en contexte chaque question dans son époque, avec le souci d’éviter tout anachronisme. Sans jamais remplacer la légende noire par une légende dorée, cette fresque alerte et passionnante redonne sa place à une investigation historique sans préjugés ni œillères.

 

Journaliste, Jean Sévillia est le chroniqueur histoire du Figaro Magazine. Il est aussi membre du comité scientifique du Figaro Histoire. Il a notamment publié Historiquement correct (2003) et Historiquement incorrect (2011), ainsi que, plus récemment, Les Vérités cachées de la guerre d’Algérie (2018).

 

Après un apéritif avec un “vin pétillant à bulle” un menu gastronomique sera servi  :

 

-Transparence de tourteau et saumon fumé, velours d’avocat

 

·Filet de bar condimenté à la citronnelle, légumes

 

·Sablé myrtilles marinées aux écorces d’orange, chantilly Saint-Honoré

 

·Café

 

vins rouges et vins blancs / eaux minérales

 

Prix : 88 € (non adhérent : 98 €)
Renseignements et inscription : contact@lys-de-france.org / Tél. : 06 82 96 73 59

 

 

 

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Le Dernier empereur. Charles d’Autriche, 1887-1922” : 22,50 € (+ 5 € de port)

 

Historiquement incorrect” : 20,30 € (+ 5 € de port)

 

Histoire passionnée de la France” : 25 € (+ 5 € de port)

 

La France catholique” : 29,95 € (+ 5 € de port)

 

Les Vérités cachées de la guerre d’Algérie” : 23 € (+ 5 € de port)

 

L’Eglise en procès. La réponse des historiens (dir.)” : 21,50 € (+ 5 € de port)

 

 

Tout le monde en parle….

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Jeudi 14 Novembre 2019

“Les Rois de France excommuniés” (François-Marin Fleutôt)

 

 

 

La France fut peut-être « la fille aînée de l’Église », mais les rois de France ne furent pas toujours des fils obéissants.

 

Entre le Xème et le XVIIIème siècle, alors que régnaient les Capétiens, seize d’entre eux ont ainsi subi les foudres ecclésiastiques : l’interdit, ou pire, l’excommunication. Tous – même saint Louis ! – se sont un jour ou l’autre opposés à Rome, rejetant par exemple le concile de Trente, ou allant jusqu’à récuser l’infaillibilité du pape. Certains ont même refusé de participer aux croisades.

 

C’est de cette volonté manifeste des rois de France d’imposer leur propre souveraineté, de leur refus radical d’être soumis à tous les pouvoirs étrangers (même aux puissances internationales de ces époques que furent le Saint-Siège ou l’Empire), qu’est née l’identité singulière du pouvoir politique dans notre pays.

 

C’est cette histoire d’amour et d’aversion, entre la religion et la politique, l’intemporel et le temporel, que raconte ici François-Marin Fleutot, avec une érudition époustouflante.

 

Né en 1950 à Paris, François-Marin Fleutot est éditeur, historien, essayiste. Il a écrit une dizaine d’ouvrages (notamment Les Royalistes dans la résistance, en 2000), où transparaît chaque fois sa passion pour l’histoire de France.

 

 

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Les Rois de France excommuniés” : 25 € (+ 5 € de port)

 

 

 

 

 

 

 

 

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Jeudi 17 Octobre  2019

Visite privée de la Chapelle Expiatoire et de son exposition temporaire

“Marie-Joséphine Louise de Savoie”

 

 

Belle-sœur de la reine Marie-Antoinette, Marie-Joséphine Louise de Savoie est considérée comme reine de France par les royalistes de 1795 jusqu’à sa mort en exil en 1810. Personnage atypique, truculent et souvent dérangeant, elle a été escamotée de l’histoire officielle de la monarchie.

 

Mariée au comte de Provence, frère du Dauphin, la princesse de Savoie arrive à Versailles en 1771. A l’avènement de Louis XVI en 1774, Marie-Joséphine Louise est, après Marie-Antoinette, la deuxième dame de la Cour. Les rivalités dynastiques, les intrigues de cour et les oppositions de caractère la dresse en concurrente de Marie-Antoinette. Les grossesses de la Reine, et particulièrement la naissance d’un Dauphin en 1781, ruinent sa position ; son propre couple reste stérile et n’a plus de crédibilité dans les affaires de succession. 

 

Délaissée par son mari, raillée sur son physique, la comtesse de Provence s’éloigne de la Cour. En 1785, elle s’éprend de sa lectrice, Marguerite de Gourbillon. Cette relation passionnelle et tapageuse dérange. Louis XVI éloigne la lectrice par lettre de cachet. Cet incident domestique, qui prend la tournure d’une affaire d’État, fait basculer provisoirement Marie-Joséphine Louise dans le camp de la Révolution.

 

En juin 1791, elle prend la route de l’exil pour une longue période d’errance. En 1795, à la mort du petit Louis XVII, le comte de Provence devient pour ses partisans Louis XVIII, roi en exil. Marie-Joséphine Louise est reine de France et de Navarre. Elle rejoint Mittau, en Courlande, en 1799 pour le mariage de sa nièce, Marie-Thérèse, fille survivante de Louis XVI et de Marie-Antoinette. Les relations entre les deux femmes sont mauvaises, hantées par le souvenir de la rivalité avec Marie-Antoinette. 

 

De brouilles en réconciliations, elle partage les pérégrinations des Bourbons à travers l’Europe. Elle s’éteint le 10 novembre 1810 à Hartwell en Angleterre, auprès de Louis XVIII. Le roi d’Angleterre lui accorde des funérailles de souveraine, à Westminster. 

 

L’ombre de Marie-Joséphine Louise semble disqualifiée par les multiples scandales dont elle a été la cause. Si Marie-Antoinette a pu paraître scandaleuse à ses contemporains, elle a obtenu, par son calvaire, une forme de rédemption. Marie-Joséphine Louise, elle, repose aujourd’hui dans la chapelle Saint-Lucifer de Cagliari.

 

http://www.chapelle-expiatoire-paris.fr/

 

 

 

 

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Samedi 21 Septembre 2019

Visite de l’église Saint-Denys d’Arcueil

 

 

À 16 h 30

 

 À l’occasion des 900 ans de l’église Saint-Denys d’Arcueil (1119) “prototype” de la cathédrale Notre-Dame de Paris débutée en 1163,

 

 visite exceptionnelle de l’église

 

sous la conduite de Gérard Vergison-Rozier,

 

Conservateur du patrimoine de la ville.

 

Puis, présentation du trésor de l’église Saint Denys et des découvertes archéologiques liées à l’édifice.

 

32, rue Emile Raspail – ARCUEIL

 

RER B, arrêt Arcueil Laplace (puis 10 mn à pied, 900 mètres).

Prendre rue Vancouleurs, puis à droite rue Ernest Renan, puis à gauche avenue Laplace, à droite avenue de la République, puis à droite rue Marius Sidobre.

 

 

Inscription GRATUITE avant le Mardi 17 Septembre par mail à nicolas.chotard@orange.fr ou par téléphone au 06 82 96 73 59

 

 

 

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Jeudi 27 Juin 2019

“La famille royale au Temple” (Charles-Eloi Vial)

 

 

 

 

 

Le 10 août 1792, l’émeute parisienne renverse le trône fragile de Louis XVI. Trois jours plus tard, la famille royale est enfermée au Temple, dans un donjon édifié au xiiie siècle.

 

Dans ce lieu sinistre périront successivement le roi, sa femme Marie-Antoinette, sa sœur Madame Élisabeth, tous trois guillotinés ; et enfin son fils, le dauphin « Louis XVII ». Seule survivante, la fille du couple royal, Marie-Thérèse de France, sera finalement libérée le 19 décembre 1795, après une détention de plus de mille jours. Entre-temps, le Directoire a remplacé la Convention et les thermidoriens tentent de terminer la Révolution en faisant oublier la Terreur.

 

Pour la première fois, un historien se penche sur l’histoire globale de cette captivité. Nourri de nombreuses archives encore inexploitées, Charles-Éloi Vial raconte avec un sens rare de la narration le quotidien des captifs et brosse le portrait de l’ensemble des protagonistes du drame, la famille royale au premier chef, mais aussi les geôliers, les employés, les gardes et les visiteurs, sans oublier les figures politiques souvent rivales à l’instar d’Hébert et de Robespierre. Ce récit prenant interroge enfin la Révolution, et plus précisément la Terreur, sur l’antinomie entre la grandeur de ses principes et certains de ses actes. Un grand livre d’histoire sur un lieu d’histoire et de mémoire, qui incarne et marque l’origine de la guerre entre les deux France.

 

Archiviste paléographe, docteur en histoire, Charles-Éloi Vial est conservateur à la Bibliothèque nationale de France. Après un remarqué Les Derniers Feux de la monarchie. La cour au siècle des révolutions (Perrin, 2016), sa biographie de Marie-Louise a été couronnée en 2017 par le prix Premier Empire de la Fondation Napoléon.

 

 

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La famille royale au Temple” : 25 € (+ 5 € de port)

 

“Les derniers feux de la monarchie” : 28 € (+ 5 € de port)

 

 

 

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Vendredi 21 Juin 2019

Versailles

 

 

 

Pour la bonne organisation des visites privées, seuls les adhérents des Lys de France sont informés par mail et invitation postale.

 

20 h 45 : Dîner gastronomique “Au Chapeau Gris” (anciennement, sous Louis XIV, “les Bains royaux”)

7, rue Hoche (à 300 m du château)

 

Dîner (kir, entrée, plat, dessert, vin, café) : 40 € (non adh. : 45 €)

 

Renseignements et inscriptions : 06 82 96 73 59 (contact@lys-de-france.org)

 

 

 

 

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14 – 15 Juin 2019 

Escapade en Bourgogne médiévale

 

 

 

 

 

 

 

 Elisabeth Hiller von Gaertringen              Présidente de l’Association

 

des Amis de la Commanderie d’Épailly  

 

Guy Aimé Patard    

        

Président du Club Allegro Molto 

 

Nicolas Chotard      

 

Président des Lys de France

 

 sont heureux de vous convier dans la Bourgogne médiévale à la découverte de l’art sacré et

 

du patrimoine selon le programme suivant :

 

Vendredi 14 Juin 2019 : Commanderie des Templiers au domaine

 

d’Epailly (Courban – Côte d’Or)

 

 

 

 

         

 

 

18 h 30 : Concert dans la chapelle Saint-Georges de Dhyani Dharmawati Heath, violoniste internationale du conservatoire de Paris.

 

Née en 1994 à New York, la violoniste Dhyani Dharmawati Heath débute à 3 ans le piano, à 7 ans elle apprend le violon avec Sylveline Bourion et Pavel Feldman à Montréal (Canada).

 

En 2017, elle était invitée par l’American Romantic Orchestra, puis en 2018 au Vermont Mozart Festival. Elle parcourt le monde donnant des récitals en France, aux États-Unis, au Canada, en Autriche et tout récemment en tant que soliste avec l’orchestre de chambre de Galega.

 

Boursière du Stephen and Denis Adams Scholarship, du Phipps White Scholarship, et du prix Broadus Erle, elle a poursuivi ses études au Mozarteum Salzburg (Autriche) avec le professeur Igor Ozim et au Yale School of Music (États-Unis) avec le professeur Hyo Kang. Reçue au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) elle continue actuellement ses études sous la conduite du professeur Michael Hentz.

 

Elle exprime aussi ses talents artistiques dans la peinture et le dessin. Passionnée par l’art visuel, sonore et théâtral, elle a été conteuse sur la télévision canadienne CCTV, mais également avec des lecteurs et des actrices, notamment avec Marc Roger de La Voie des Livres. Elle aime combiner dans ses projets la musique et les sciences. Ainsi, avec son ensemble baroque Flux et Veritas elle réalisa une conception de médiation musicale au musée Peabody d’histoire naturelle situé dans l’université de Yale.

 

Elle recherche dans l’art la Beauté et l’Harmonie passant par la musique pour toucher au cœur de l’humanité.

 

20 h : Cocktail-dînatoire

 

Samedi 15 Juin 2019

 

 

 

 10 h 45 : Visite-guidée du château de Bussy-Rabutin

 

12 h 30 : Déjeuner gastronomique à l’Auberge du Cheval

 

 

vercingetorix

 

 

 

 

 

 

14 h : Site d’Alésia, monument à Vercingétorix

 

 

    

 

 

 


 

 

                                                                                                       

  15 h : Flavigny, plus beau village de France, visite de l’Abbaye Saint-Pierre

 

 

 

16 h 45 : Commanderie de Templiers au domaine d’Epailly

 

– 17 h : Visite du domaine

 

– 17 h 30 : Conférence de Gérard Schild sur l’Ordre du temple

 

– 18 h 30 : Concert de trompes de chasse

 

– 19 h : Cocktail-dînatoire

 

 

 

 

Accès : – en voiture : 2 h 30 de Paris

 

              – en TER  : 13 h 33 (Paris Gare de Bercy) – Arrivée (Montbard)  : 15 h 48 (environ 35 €)

 

              – en TGV : 13 h 57 (Gare de Lyon) – Arrivée (Montbard) : 15 h (environ 35 €)

 

À Montbard, correspondance en Bus Mobigo (Téléphone : 03 80 11 29 29) à 16 h 15, arrivée

 

à Chatillon-sur-Seine à 16 h 55. Co-voiturage jusqu’à Epailly

 

               – en TER (samedi) : 6 h 46 (Paris Gare de Lyon) / 7 h 37 (Paris Gare de Bercy) – Arrivée (Montbard)  : 9 h 50 (environ 35 €)

 

Hébergement : consulter www.booking.com (Courban, Chatillon-sur-Seine, Montbard…)

 

 

 

 

VENDREDI 14 JUIN 2019

 

        – Concert / cocktail-dînatoire : 40 €

 

SAMEDI 15 JUIN 2019

 

     – Journée (déjeuner gastronomique compris) (jusqu’à 18 h 30) : 45 €

 

     – Journée (déjeuner non compris) (jusqu’à 18 h 30) : 10 €

 

     – Cocktail-dînatoire (19 h) : 40 €

 

Inscriptions jusqu’au 7 juin 2019 auprès du Club Allegro Molto – 11, rue Roli75014 Paris

 

Renseignements :  Tél. : 06 12 29 52 23 / 01 45 80 68 51 – Courriel : contact@lys-de-france.org

 

Ne seront prises en compte que les inscriptions accompagnées d’un règlement

 

 

(chèque à l’ordre du Club Allegro Molto)

 

 

 

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Jeudi 13 Juin 2019

“Chrétiens d’Orient, Résister sur notre terre (Mgr Pascal Gollnisch)

 

 

 

 

Dans un Moyen-Orient bouleversé par la barbarie de Daesh, la guerre n’épargne pas les minorités chrétiennes, lesquelles sont chassées, par la force, de cette terre qui est aussi la leur. Mgr Pascal Gollnisch veut mobiliser face au fléau qui frappe notamment la Syrie, l’Irak ou la Libye. Fort de son expérience du terrain sur ces zones menacées, il dresse un état des lieux de la situation. L’Oeuvre d’Orient, qu’il dirige, est proactive : aider les Églises restées en première ligne, établir des ponts entre elles et la France, agir pour l’éducation, la santé, l’action sociale, la culture et la transmission de la foi.


L’avenir de cette région ravagée ne se fera pas sans ses chrétiens. Non seulement parce que c’est en cette terre que le christianisme trouve son origine, mais aussi parce que chaque chrétien d’Orient est d’abord un citoyen arabe, syrien, irakien, libanais, égyptien, iranien. profondément lié à son pays. Encore faut-il que sa citoyenneté soit reconnue !


Les Églises d’Orient ont l’expérience du dialogue avec l’Islam. Utilisons-la ! Mgr Gollnisch propose une laïcité à l’orientale, réaffirme le droit à la citoyenneté pour tous et se bat pour le retour des populations chrétiennes chez elles. Autant de motifs d’espérance pour ces victimes et ces résistants sans lesquels l’histoire ne pourra continuer de s’écrire.


Mgr Pascal Gollnisch est le directeur général de « l’Oeuvre d’Orient ». Chapelain de sa Sainteté, il est aussi chorévèque de Beyrouth et de l’Église syriaque catholique. Depuis 2014, Il est vicaire général de l’ordinariat des catholiques d’Orient en France.

 

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Chétiens d’Orient, Résister sur notre terre” : 16 € (+ 5 € de port)

 

 

 

 

 

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Samedi 13 Avril 2019

(Château de Sceaux) : Visite de l’exposition Colbert sous la conduite du Comte Joseph de Colbert

 

 

 

À la messe de Noël, moment de joie et d’allégresse, on n’échappe pas à la lecture ennuyeuse de l’évangile de Saint-Mathieu retraçant la généalogie de l’Enfant Jésus sur 14 générations. Serait-ce pour nous signifier que, comme le cep, plus la connaissance de ses racines sont profondes  meilleur sera le vin de la vigne du Seigneur ? L’ADN de notre personnalité se trouve dans l’histoire de notre famille, elle nous façonne, on pense être libre, en réalité on est imprégné de ce passé.

 

 La chancellerie du Roi d’Angleterre et d’Ecosse a octroyé généreusement à Colbert une généalogie de courtoisie le faisant issu de la Maison écossaise de Cuthbert. Cette ascendance glorieuse relève de la croyance fantomatique par contre le “clan Colbert” aura bien une prestigieuse descendance avec de belles alliances : d’Estaing, Le Pelletier d’Aunay, Rouxel de Grancey, Barolo…

 

 Comme l’a si bien souligné Dominique Brême, directeur du Domaine : “Nous sommes face à un phénomène particulier, unique dans l’Histoire de France, avec cette dynastie qui a donné 4 ministres, 5 conseillers d’Etat, 6 ambassadeurs, 2 membres de l’Académie française, un de l’Académie des sciences, 11 lieutenants-généraux, 3 chefs d’escadre ou contre-amiraux, 7 colonels“..mais aussi un archevêque, des évêques, un abbé…et le Comte Joseph de Colbert, qui nous guidera dans son exposition est tout aussi brillant en ayant obtenu en 2002 pour son ouvrage Histoire des Colbert, du XVe au XXe siècle le Prix Hugot de l’Académie française.

 

 Prêtant au Château de Sceaux, propriété désormais du département des Hauts-de-Seine, près de 50 chefs d’oeuvres familiaux, sa collection originale s’ouvre sur l’intimité de sa famille. Grand érudit, le Comte Joseph de Colbert nous dévoilera les différents rameaux de sa famille. Celle de la branche des Colbert-Maulévrier en Anjou nous élève vers les sommets de la spiritualité et de l’héroïsme valeureuse. À Turin, Juliette Françoise Victurienne Colbert de Maulévrier, épouse du marquis de Barolo, consacra son temps et son argent aux plus démunis. En 2015, le Vatican la déclara vénérable. La branche Colbert-Maulévrier est aussi connue pour avoir employé en tant que garde-chasse Jean-Nicolas Stofflet, un lorrain “exilé” en Anjou qui deviendra un “Géant” de Vendée en combattant dans l’Armée Catholique et Royale. Malheureusement, à Mayenne, lors de la Virée de Galerne, devant la célèbre fontaine installée par le surintendant des Finances, il influencera le Conseil de marcher vers un port pour permette le débarquement de la flotte anglaise plutôt que vers Paris. Victor Hugo écrira plus tard : “Si à Mayenne les Vendéens avaient marché sur Paris, le drapeau Blanc flotterait aujourd’hui sur Notre-Dame“. Stofflet était né dans une Lorraine souveraine avant son annexion en 1766 par la Couronne de France il sera fusillé pour avoir défendu le Roi de France et son royaume millénaire.

 

 

Nicolas Chotard

 

Président des Lys de France

 

Le Département des Hauts-de-Seine présente l’exposition «Who is who chez les Colbert ? La collection d’estampes de Joseph de Colbert dans la « galerie bis », installée aux Ecuries. Cette collection d’estampes a été réunie par un amateur éclairé et descendant de la famille, Joseph de Colbert.

 

Lorsqu’il acquiert cette propriété en 1670, Jean-Baptiste Colbert est l’un des principaux ministres du Roi-soleil, contrôleur général des Finances du royaume (1665), surintendant des Bâtiments (1664) et secrétaire d’État chargé de la maison du Roi, de Paris, du Clergé et de la Marine (1669), il accompagna avec une remarquable efficacité la réorganisation du pays voulue par le Roi-Soleil au lendemain de la Fronde. Sur le plan privé, Colbert marqua considérablement Sceaux, aussi bien par le domaine qu’il y créa, aujourd’hui propriété du Département des Hauts-de-Seine, que par son action en faveur de la ville, dont il participa au développement. À sa mort, en 1683, son fils, le marquis de Seignelay (1659-1690), prit la suite, tant dans certaines responsabilités (le secrétariat d’État à la Marine notamment) que dans la gestion du patrimoine familial : hôtel particulier à Paris, domaine de campagne à Sceaux, collections… André Le Nôtre, Charles Le Brun ou Jules Hardouin-Mansart sont, parmi d’autres, les grands artistes qui accompagnèrent le grandiose projet scéen des Colbert.

 

L’exposition s’attache à présenter l’ensemble du «clan Colbert», car le «Grand Colbert» n’est pas à l’origine de la fortune familiale. Il fut le membre le plus éminent d’une véritable dynastie de ministres et de grands commis d’Etat. 45 portraits, gravés par les meilleurs artistes de l’époque, reconstituent ainsi l’arbre généalogique d’une famille à la transition des XVIIe et XVIIIe siècles.

 

L’exposition revient également sur les techniques anciennes de l’estampe pour révéler cet art si particulier, très apprécié à l’époque pour diffuser les portraits. C’est ainsi que Robert Nanteuil put avoir le privilège, rare pour un graveur, de dessiner le roi d’après nature. Le visiteur pourra admirer le chef d’œuvre «La Sainte Face», que son auteur Claude Mellan a composé d’un seul trait au burin.

 
 

 

 

 

FLEUR DE LYSE SANS FOND

 

 

 

 

Jeudi 4 Avril 2019 

(Cercle de l’Union Interalliée) : Dîner-débat François d’Aubert “Colbert, la vertu usurpée”

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En France, la Monarchie traditionnelle (496-1789), l’Empire romain et bonapartiste, la Restauration et les 5 Républiques ont apporté leur contribution à l’édifice du Droit et à la pratique politique du pouvoir.

Dans son “Introduction Historique à l’étude du Droit et des Institutions” le professeur Albert Rigaudière a aussi précisé : “il en va de même des modèles économiques qui ont largement contribué à façonner les structures de nos systèmes et de nos comportements actuels, qu’il s’agisse de l’organisation des conquêtes romaines, du mode domanial de production, de la naissance du capitalisme au Moyen-Âge ou du mercantilisme de Colbert, précurseur de nos systèmes d’économie dirigée.”

 

 Avec Vauban, Colbert est devenu un nom “institutionnel” : il est un navire de la Marine française, le nom d’une ancienne banque du groupe Crédit Lyonnais, un comité regroupant 81 maisons de luxe (Dior, Baccarat, Chanel, Christofle, Hermès, Longchamp, Louis Vuitton…) « Pour le Comité Colbert, une marque de luxe française est l’expression du goût et du style français. C’est une marque née en France, nourrie de culture française, s’appuyant sur des savoir-faire identitaires et dont la création est réalisée en France. » et lorsqu’on écrit à Gérald Darmanin, ministre du budget, 139, rue de Bercy 75012 Paris ne pas omettre de préciser “Bâtiment Colbert”. Enfin, la devise de Colbert Pro rege, saepe, pro patria semper (Pour le roi souvent, pour la patrie toujours) s’illustra d’une certaine manière lors du dernier arbre de Noël de l’Elysée. La salle des fêtes en travaux, Emmanuel et Brigitte Macron ont alors été contraints d’accueillir les enfants à l’ancienne manufacture royale des Gobelins, oeuvre de Colbert.

 

 Le glorieux Contrôleur général des Finances de Louis XIV donna à la France son indépendance économique et financière tout en encourageant l’investissement dans les manufactures, créatrices d’emplois et de valeur ajoutée, mais aussi auprès des Compagnies coloniales françaises. C’est dans cet état d’esprit “colonisateur” qu’on donna son patronyme à une commune du département d’Algérie. Mais, depuis l’assimilation de la colonisation au “crime contre l’humanité”, le “passé colonial” de Colbert a quasi couvert son nom d’opprobre. Il n’y aura donc point de manifestation nationale pour ce descendant de roturiers devenu l’un des principaux ministres du Roi Soleil.

 

 Dans un entretien au Parisien, Joseph de Colbert, descendant d’une branche collatérale des Colbert, qui venait de fournir 45 estampes de portraits de sa famille dans le cadre de l’exposition de l’année Colbert au château de Sceaux, s’indignait : “Cette année, à Paris, il n’y aura pas une manifestation, pas un colloque, pas une conférence au sujet de Colbert pour le 400e anniversaire de sa naissance. Rien. Je suis complètement atterré. Sceaux est la seule ville en France qui a le courage de son histoire. La ville et le département ont réalisé une belle programmation exceptionnelle.” Les Lys de France ne manqueront pas d’honorer Colbert à la hauteur de son prestige par un dîner-débat à l’Interalliée le jeudi 4 avril animé par François d’Aubert, ancien secrétaire d’Etat au Budget, lointain successeur du Contrôleur général des Finances de l’Ancienne France.

 

 

Nicolas Chotard,

 

Président des Lys de France.

 

Après un apéritif avec un “vin pétillant à bulle” un menu gastronomique sera servi (en ce temps de Carême, afin de respecter la sensibilité des catholiques pratiquants on a évité le gâteau au chocolat) :

 

-Transparence de tourteau et saumon fumé, velours d’avocat

 

·Filet de bar condimenté à la citronnelle, légumes

 

·Sablé myrtilles marinées aux écorces d’orange, chantilly Saint-Honoré

 

·Café

 

vins rouges et vins blancs / eaux minérales

 

Prix : 78 € (non adhérent : 88 €)


Renseignements et inscription : contact@lys-de-france.org / Tél. : 06 82 96 73 59

 

 

 

 

 

 

 

FLEUR DE LYSE SANS FOND

 

 

 

 

 

 

Jeudi 28 (20h30) 2019

Dîner dans les Salons de l’Hôtel des Arts et Métiers

 

 

 

En 1846, un groupe de gadzarts créent la « société philanthropique des anciens élèves des écoles royales d’arts et métiers ». Les gadzarts deviennent ainsi le premier groupe d’anciens élèves d’écoles d’ingénieurs. Le but de la société était donc « … d’établir entre les anciens élèves un lien de confraternité, de réunir leurs efforts pour faire fructifier l’enseignement des écoles au profit de l’industrie française, de venir en aide aux membres, de fonder une caisse de secours dans l’intérêt de ceux qu’une maladie ou qu’une infirmité priverait de moyens d’existence… ». En 1901, Louis Delage, son président, fabricant de voitures de très haut de gamme, les Automobiles Delage) installe la Société à l’Hôtel Singer au 9 bis, avenue d’Iéna à Paris XVI. À la fin de sa vie, il se convertit au catholicisme menant une vie simple et effectuant de nombreux pèlerinages à pied et à vélo à Chartres, Lisieux et Lourdes.

 

Prix : 55 € (non adhérent : 60 €)

 

Inscription : contact@lys-de-france.org / Tél. : 06 82 96 73 59

 

 

 

 

 

FLEUR DE LYSE SANS FOND

 

 

 

 

Jeudi 28  (18h30)

Visite-guidée “Le Crac des Chevaliers, forteresse des Hospitaliers de Malte”

 

 

 

Forteresse croisée dressée depuis huit siècles au cœur de la Syrie, le Crac des Chevaliers n’est pas seulement « le plus beau des châteaux du monde » (T. E. Lawrence). Ce chef-d’œuvre d’architecture militaire est aussi un symbole permanent des échanges entre Orient et Occident, et de la fascination de deux mondes qui ne cessent de s’observer, de part et d’autre de la Méditerranée.

 

Entièrement rebâti au XIIe siècle par les moines-soldats de l’ordre des Hospitaliers, le Crac est pris en 1271 par les mamelouks du sultan Baybars. Mais le départ des croisés lui fait perdre peu à peu son rôle stratégique ; cet oubli relatif sauve le monument, qui parvient presque intact jusqu’à nos jours.

 

Redécouvert par les voyageurs et les archéologues à partir du XIXe siècle, le Crac s’impose dans l’imaginaire occidental comme le modèle des châteaux forts : des archéologues français, à partir de 1926, le fouillent, l’étudient et le restaurent. En 2006, le Crac est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco ; il fait encore aujourd’hui l’objet de recherches archéologiques et historiques.

 

Prix : 15 € (non adhérent : 20 €)

 

Inscription : contact@lys-de-france.org / Tél. : 06 82 96 73 59

 

 

 

FLEUR DE LYSE SANS FOND

 

 

 

 

Samedi 2 Février 2019 

Dîner de la Chandeleur

 

L’activité culturelle précédent le dîner est réservée aux seuls adhérents des Lys de France.

 

 

 

 

     Dîner de la Chandeleur au Café Bleu Roi (ancien

secrétariat de Marie-Antoinette)


7, rue Colbert à Versailles

 

 

 

Prix : 35 € (adhérent) / (40 € non adhérent)

 

Renseignements et inscription : tél. : 06 82 96 73 59 / contact@lys-de-france.org

 

 

 

 

 

 

FLEUR DE LYSE SANS FOND

 

 

 

 

 

Samedi 19 Janvier 2019

(Galette des Rois, AG, Dîner du nouvel an)

 

 

 

A 17 h, Galette des Rois des Lys de France au restaurant

Le Congrès Auteuil (144, bd Exelmans – Paris XVI) (Métro : Porte d’Auteuil)

 

La Galette sera suivie de l’Assemblée Générale (même adresse)

 

Puis, vers 19 h : Dîner du Nouvel An (entrée – plat – dessert – vin – café)

 

Renseignements et inscription : tél. : 06 82 96 73 59 / contact@lys-de-france.org

 

 

 

 

 

 

 

 

 

FLEUR DE LYSE SANS FOND

 

 

 

 

 

 

 



04/06/2020
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